Ici, la couleur prend toute la place.
Elle ose. Elle frappe. Elle s’élève.
Ces tableaux sont des présences.
Ils n’expliquent rien — ils s’imposent.
C’est la voix haute de celles qui ne demandent plus la permission d’exister.
Peindre pour dire la lumière, c’est refuser de s’effacer.